Qualifié par plusieurs journalistes du Québec comme l'un des meilleurs shows des Francos 2008, le spectacle de Camille était tout à fait dans la continuité de ses précédentes tournées. La recherche musicale, axée sur le corps et les voix, était très surprenante et enthousiasmante. Malgré mon immense fatigue et le fait que j'étais seule à ce spectacle, je me suis laissée emporter par la douce folie de Camille. Un seul instrument sur la scène, un piano tour à tour effleuré et trituré par Majiker, l'acolyte de Camille depuis plusieurs albums. Le reste, que des humains : Ezra et Sly (du groupe Saïan Supa Crew), qui font les percussions avec leurs voix, Martin Gamet, le bassiste sur la précédente tournée, est ici accompagné de deux autres choristes pour accompagner par la voix et les pieds les chansons des deux albums Le Fil et Music Hole. Deux autres choristes viennent compléter le tableau. Tout ce petit monde réuni pour nous offrir une expérience musicale assez inédite. L'artiste a réussi à enthousiasmer la majeure partie du public présent au Métropolis, aidée par son naturel bien connu des fans...
Je dois avouer quelque chose que j'ai regretté dès le lendemain : j'étais si fatiguée que je suis partie avant la fin, un peu avant minuit. J'ai donc loupé quelques chansons à la toute fin. Mais j'avais heureusement entendu l'une de mes chansons préférées, Pâle Septembre, de l'album Le Fil, dans une version magnifique (j'en avais des frissons). Il faut dire que la première partie était un peu trop longue à mon goût (Thomas Hellman), mais c'est un peu toujours comme ça quand on vient pour un artiste en particulier.
Un article sur Camille dans La Presse
La critique du concert par Philippe Renaud
Je dois avouer quelque chose que j'ai regretté dès le lendemain : j'étais si fatiguée que je suis partie avant la fin, un peu avant minuit. J'ai donc loupé quelques chansons à la toute fin. Mais j'avais heureusement entendu l'une de mes chansons préférées, Pâle Septembre, de l'album Le Fil, dans une version magnifique (j'en avais des frissons). Il faut dire que la première partie était un peu trop longue à mon goût (Thomas Hellman), mais c'est un peu toujours comme ça quand on vient pour un artiste en particulier.
Un article sur Camille dans La Presse
La critique du concert par Philippe Renaud
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