22 octobre 2012

Rue des voleurs

Rue des voleurs, Mathias Énard, Éditions Actes Sud / Leméac, 2012

Ça ne s’invente pas, à Barcelone, dans le quartier Raval, la Carrer d’En Robadors (rue des voleurs) existe vraiment.
C’est là qu’atterrit Lakhdar, jeune Marocain de Tanger, après de nombreuses péripéties entre le Maroc et l’Espagne. On est loin de Gaudi et de la Sagrada Familia, et plus près du Barcelone de Biutiful, ce film d’Alejandro González Innáritu avec Javier Bardem. La Barcelone des réfugiés, des clandestins, des junkies et des voleurs. La Barcelone de la misère humaine, carrefour de plusieurs continents. 
La misère humaine qui ne connaît pas de frontière.

La suite ici... 
 

3 commentaires:

L'écrivaine a dit...

Certains auteurs ont fait le bon choix le jour où ils ont décidé de rédiger un roman. Ce n’est pas donné à tout le monde de savoir comment rédiger un roman intéressant et qui sera choisi par un éditeur. La simplicité, la spontanéité des personnages et la véracité des événements seront des atouts précieux. Les faits racontés devront être crédibles et captivants. Pour rédiger un roman intéressant, certains vous diront qu’il y a une méthode et d’autres vous diront qu’ils écrivent ce que leur coeur leur dicte. Pour ma part, je crois que l’on peut écrire un roman sans méthode, mais qu’il est préférable d’avoir une méthode pour écrire un bon roman. 
Merci pour votre blog. J’apprécie vos analyses.

Lætitia Le Clech a dit...

Bonjour, merci pour votre commentaire. Sachez cependant que ce blogue n'est pas là pour faire la promotion de qui que ce soit. Aussi, si vos commentaires restent axés sur votre propre site pour vendre des méthodes d'écriture, je me verrai dans l'obligation de bloquer votre adresse. Merci de votre compréhension.

MJ a dit...

Hello, me voici de retour sur un blog qui finalement ne change pas beaucoup des anciens ! Mathias Enard je viens d'en parler - pas de celui-là, et c'est biiiiien.