Samedi dernier, nous sommes donc allés voir Karkwa, dans une minucule salle du CÉGEP de L'Assomption, charmante petite ville à 40 minutes au nord-est de Montréal.
Après un repas très agréable à L'Ange Cornu, très bel endroit tout décoré de rouge, d'ailes d'anges, où l'art et la bonne cuisine se mélangent, nous sommes entrées dans la salle de spectacle pour nous installer au premier rang, bien sûr.
Nous étions placées à seulement un mètre ou deux des musiciens, et lorsque le show a débuté, nous nous en sommes pris plein les oreilles... Mais comme l'a dit Louis-Jean Cormier, le chanteur : «Les oreilles c'est ben faite, ça compresse tout seul...».
Alors a pu débuter un spectacle puissant, où toutes les chansons de leur dernier album se sont enchaînées, ne laissant planer aucun doute sur la solidité, le sérieux, la sensibilité, et le génie (pas moins) de ce groupe.
La magie semble opérer plus entre le chanteur/guitariste, le claviériste François Lafontaine et le percussionniste/chanteur/guitariste au joli chapeau Julien Sagot. Le batteur et le bassiste, plus en retrait, peut-être plus timides, ont aussi une bonne présence, mais moins palpable.
Le bonheur de jouer est clairement visible chez tout ce petit monde. On a eu droit à quelques chansons du premier album, Le pensionnat des établis, et également, à la toute première fois d'une nouvelle toune...
La proximité avec le public restreint (une soixantaine de personnes) a permis quelques confidences très intimes sur le Canadien de Montréal de la part de Louis-Jean Cormier (...), et la décontraction était manifeste (oubli des chansons à jouer), même si le spectacle n'a jamais été bâclé ou pris à la légère...
En les écoutant jouer, on se rend compte à quel point leur dernier album est rempli de hits, ce ne sont pas 2 ou 3 chansons qui se démarquent, mais au moins 6 ou 7.
Pour moi, le groupe québécois de l'année 2006, à qui je souhaite une longue vie...
Après un repas très agréable à L'Ange Cornu, très bel endroit tout décoré de rouge, d'ailes d'anges, où l'art et la bonne cuisine se mélangent, nous sommes entrées dans la salle de spectacle pour nous installer au premier rang, bien sûr.
Nous étions placées à seulement un mètre ou deux des musiciens, et lorsque le show a débuté, nous nous en sommes pris plein les oreilles... Mais comme l'a dit Louis-Jean Cormier, le chanteur : «Les oreilles c'est ben faite, ça compresse tout seul...».
Alors a pu débuter un spectacle puissant, où toutes les chansons de leur dernier album se sont enchaînées, ne laissant planer aucun doute sur la solidité, le sérieux, la sensibilité, et le génie (pas moins) de ce groupe.
La magie semble opérer plus entre le chanteur/guitariste, le claviériste François Lafontaine et le percussionniste/chanteur/guitariste au joli chapeau Julien Sagot. Le batteur et le bassiste, plus en retrait, peut-être plus timides, ont aussi une bonne présence, mais moins palpable.
Le bonheur de jouer est clairement visible chez tout ce petit monde. On a eu droit à quelques chansons du premier album, Le pensionnat des établis, et également, à la toute première fois d'une nouvelle toune...
La proximité avec le public restreint (une soixantaine de personnes) a permis quelques confidences très intimes sur le Canadien de Montréal de la part de Louis-Jean Cormier (...), et la décontraction était manifeste (oubli des chansons à jouer), même si le spectacle n'a jamais été bâclé ou pris à la légère...
En les écoutant jouer, on se rend compte à quel point leur dernier album est rempli de hits, ce ne sont pas 2 ou 3 chansons qui se démarquent, mais au moins 6 ou 7.
Pour moi, le groupe québécois de l'année 2006, à qui je souhaite une longue vie...